Les électeurs grecs font ce dimanche un choix historique : réélire un gouvernement largement discrédité, mais expérimenté, ou être les premiers en Europe à tenter le « non » à l’austérité, en portant au pouvoir le parti de gauche radicale Syriza. Selon un sondage à la sortie des urnes, on se dirige vers cette option : Syriza est crédité de plus de 35 % des voix (entre 35,5 % et 39,5 %), contre 27 % pour le parti Nouvelle Démocratie d’Antoni Samaras.
Les bureaux de vote fermeront leurs portes à 19 heures.
Pour rappel,le programme de Syriza est vraiment révolutionnaire !
Ils veulent appliquer la loi !
Rien que çà !
La loi dit par exemple que si la situation financière devient catastrophique,
il faut faire un bilan comptable .
Ce que jusqu'ici la Grèce a refusé,
et que l'Europe n'a pas exigé ....