La Grèce se casse la gueule ....

La Grèce se casse la gueule .
La Grèce veut plus payer .

Y a des raisons ....

a) elle s'est faite embobiner par Goldman Sachs avec une dissimulation de ses dettes réelles par un tour de passe passe très cher .

b) les prêts inconsidérés faits par les banques grecques aux privés sont devenus  tellement inquiétants que l'état grec a stabilisé les banques en transformant des dettes privées en dette publique !

c) les propriétaires terriens (principalement l'église) et les armateurs ne sont pas taxés ....

Et maintenant on veut réduire les retraites ?
Cad condamner les vieux à la misère noire,puisque les produits de nécessité voient la TVA augmenter !


Et si in se retournait sur Goldman Sachs ?
Et si on se retournait contre la BCE qui a laissé faire en tt connaissance de cause ?

"
c) les propriétaires terriens (principalement l'église) et les armateurs ne sont pas taxés ... "

Et s'ils commençaient par taxer les propriétaires terriens et les armateurs avant de se retourner ensuite contre les autres !!!!!!
Ce serait pas mal aussi pour un gouvernement à majorité d'ultra gauche , c'est à croire que les étiquettes ne veulent vraiment plus rien dire de nos jours .

La Grèce commence à prendre conscience qu'il existe une vraie démocratie et qu'il y a en a marre des diktats de technocraties politiques qui jugent sans recul
Alors oui la Grèce se casse la gueule ...mais au moins on ne lui cassera pas sans l'avis de son peuple qui n'a jamais été consulté : ni par les colonels, ni par les religieux , ni par les communistes!....
D'accord avec toi Lyli@ne il faut qu'ils taxent les armateurs...mais ils quitteront la Grèce
Il faut aussi qu'ils taxent le patrimoine immobilier
Il faut qu'ils taxent le patrimoine de l’Église orthodoxe
Mais on ne leur demande pas cela , on leur demande de taxer les salaires et de réduire les retraites!!!
Curieux quand même cette technocratie bancaire allemande qui veut mettre les peuples à genoux.
Une résurgence du fascisme?
Oui! très clairement le fascisme économique existe!!
Pour ma part je soutien le peuple Grec qui a donné sa culture à tout l'occident et qui doit vivre debout ...n'en déplaise aux chiens couchers devant leurs banquiers que sont Merckel et Hollande!
GIBET

Be Mol: la non taxation des armateurs et propriétaires terriens est inscrite dans la CONSTITUTION ... pas dans la Loi ...Il faut la majorité des 2/3 pour la modifier ...

Tout le problème est là, les majorités préfèrent diminuer les retraites que de revoir la position des nantis.
Mais les nantis paieront quand les banques seront fermées pour rupture de moyens
Cela ne devrait plus tarder
Ceux qui souhaitent que la France sorte de l'Euro vont pouvoir se féliciter...et mettre la main à la poche!
Quand c'est la merde dans un pays ce sont les ouvriers qui paient ... pas ceux qui ont les moyens et s'enrichissent du chaos!!

La Grèce dévastée par la fuite de ses cerveaux

***«Philotimo». Ce terme grec serait impossible à traduire dans une autre langue. Il incarnerait un mélange entre loyauté, fierté, amour, une concentration de valeurs positives. «Il lie les Grecs de la diaspora avec leur pays d’origine. Il explique l’ethos grec, le devoir que chaque Grec ressent vis-à-vis de son pays. Toute ma vie, j’ai vécu pour ce mot», confie George Koukis, un homme d’affaires vivant à Genève et qui a fondé Temenos, la principale entreprise de logiciels bancaires du monde.***

http://www.tdg.ch/economie/argentfinances/grece-devastee-fuite-cerveaux/story/2689481

Oui ...dans la marine on utilisait l'expression:

"les rats quittent le navire"

Les entreprises grecques ont misées sur la chute de la Grèce justifiant les assurances qu'ils ont pris sur les emprunts concédés à la Grèce et qui , pour être remboursés par les assurances, nécessitaient , que la Grèce soit en faillite.
Voila ces investisseurs heureux ils vont pouvoir refaire leur fortune sur la mort des plus pauvres qui eux n'ont pas pris d'assurance contre leur pays
Alors les cerveaux ...du crime fuient leur Patrie au moment où elle souffre , et cela justifiera que l'on sacrifie la Grèce
Beaucoup mourront démocratiquement debout!!
C'est un drame humain.
Du genre qui laisse l'humanité indifférente!
GIBET

Oui,oui,Gibet,
tu soulèves là un autre problème : les assurances ...

Plus tu grattes,plus ça sent la merde cette affaire ...

«Mais cela sera la première fois qu'un pays reporte un remboursement au FMI et cela reste un moment clef dans l'histoire», estimait M. Smith-Analyste chez FXpro

Défaut grec: les événements heure par heure

http://www.tdg.ch/economie/direct-c-jour-j-grece/story/31211475

Il semblerait que le "non" n'est pas totalement acquis. Si le oui l'emporte le peuple grec donnera une sacrée leçon aux polico-financiers de l'UE !!
Mais attendons!

Non aux exigences des créanciers d’Athènes

Les exigences des créanciers d’Athènes ne visent ni à échelonner la dette, ni à accorder des réparation pour les dommages humains, sociaux, économiques et financiers que la politique de la Troïka a infligé au peuple grec depuis 2010. Elles visent à imposer au gouvernement d’Alexis Tsipras des reculs supplémentaires dans les droits sociaux et humains du peuple grec, à l'inverse du mandat démocratique qu’il a reçu lors des élections du 25 janvier dernier.

Alors qu’Alexis Tsipras a donné dans les négociations, depuis cinq mois, le maximum de garanties dans le cadre du respect de son mandat populaire, la Commission et l’Eurogroupe se sont ingéniés à exiger :

- la hausse de la TVA qui est déjà de 21 % et qui serait supportée par toute la population déjà démunie avec suppression des taux réduits dans les îles ce qui nuira au tourisme et rendra la vie plus chère aux îliens,
- la suppression des pré-retraites à partir du 30 octobre (alors qu’elles servent d’amortisseur social dans la crise) et des allocations supplémentaires accordées aux petits retraités (EKAS) ,
- l'augmentation de la contribution santé de + 4 à 6 % alors que déjà des millions de grecs ne peuvent plus se soigner,
- la privatisation de la compagnie publique d’électricité alors que cet hiver déjà 800 000 habitants à Athènes ne pouvaient plus payer de chauffage ni d’électricité.
Ingérence inadmissible…

Les créanciers refusent une taxe de 12 % sur les profits (au delà de 500 millions d’euros) pour les entreprises. Ils ne sont pas intéressés par une réduction de 400 millions des dépenses militaires ni par la lutte contre la fraude fiscale engagée par le gouvernement grec. De fait ils manifestent davantage leur volonté de s’ingérer dans les choix politiques et sociaux du gouvernement souverain du peuple grec plutôt que de trouver une véritable solution durable aux déficits et à la crise de la « dette » grecque. Alors même qu'un audit récent en a démontré le caractère largement illégitime.
Voilà ce qui est en jeu

C’est aussi simple, clair et concret que cela. C'est la raison pour laquelle nous sommes du côté du refus des exigences des créanciers, pour la souveraineté et les droits sociaux prioritaires du peuple grec. Alexis Tsipras a raison de recourir au référendum et d'appeler à voter Non ! C’est à l’Union Européenne de mériter son beau nom d’ « Union » , c’est à elle d’écouter la volonté démocratiquement exprimée du peuple grec et non pas de l’étouffer. Non seulement les négociations doivent reprendre, mais c’est la démocratie et non pas les diktats des créanciers qui doivent l’emporter.

Non aux exigences des créanciers d’Athènes - La Lettre de "Démocratie & Socialisme" - N°244 - 3 juillet 2015

[size=42]Si le non l’emporte, les pessimistes n’excluent pas une dislocation de la zone euro[/size]
LE MONDE e 05.07.2015 à 19h03 


Il y a ceux qui n’osent l’imaginer, d’autres qui n’attendent que ça. Ceux qui pensent qu’il s’agira d’une simple formalité et les autres qui redoutent un naufrage, celui de la Grèce, de l’euro et de toute l’Europe. La question d’une sortie de la Grèce de l’union monétaire se pose aujourd’hui plus que jamais. En la matière, le référendum du 5 juillet apportera une première réponse. Si les Grecs disent non aux réformes demandées par les partenaires européens d’Athènes, le pays fera un pas de plus vers le « Grexit ». S’ils votent oui, une telle option sera écartée. Du moins, pour le moment.
Suivre les événements en direct sur notre live
Comment imaginer que le pays honore les sommes dues à la Banque centrale européenne (BCE) et à l’Europe ? La Grèce, ruinée et déclarée en faillite, devra battre sa propre monnaie pour être en mesure de faire fonctionner un semblant d’Etat. Factuellement, la Grèce sera hors de la zone euro. Un scénario original. Le président de la BCE, Mario Draghi, avait raison de dire que l’appartenance à la zone euro est un processus « irréversible » : rien n’est prévu dans les traités pour permettre à un pays d’en sortir.
Lire aussi : Référendum : et si la Grèce choisissait le non...

« Effet ravageur sur le pouvoir d’achat des Grecs »

Aux yeux d’une partie des économistes, ce « Grexit » serait terrible, mais gérable pour Athènes et pour la zone euro. Le retour à la drachme s’accompagnerait d’une dévaluation massive. La valeur de cette monnaie s’effondrerait de 40 % à 70 % par rapport à sa parité initiale vis-à-vis de l’euro dans les heures et jours suivant son émission. Le prix des biens importés en euros se renchérirait d’autant.

« Cela aurait un effet ravageur sur le pouvoir d’achat des Grecs, déjà très malmenés par six ans de crise », commente Eric Chaney, chef économiste pour l’assureur Axa. Les supermarchés peineraient à s’approvisionner du fait d’un contrôle des capitaux indispensable, les biens de première nécessité viendraient à manquer… Le pays plongerait dans une crise humanitaire.
« A condition que le “Grexit” se déroule dans le calme, avec l’aide de l’Union européenne [UE] – ce qui reste difficile à imaginer –, les choses pourraient s’améliorer relativement vite, en deux ou trois ans », poursuit M. Chaney. La dévaluation aurait un effet positif sur l’économie grecque qui lui permettrait de restaurer sa compétitivité si cette dévaluation s’accompagne d’une lutte renforcée contre les rentes, qui paralysent certains secteurs.
Le reste de l’union monétaire, réfugié dans un entre-soi, pourrait sortir renforcé de cette épreuve. A écouter les plus optimistes, le départ du « maillon faible » grec améliorerait la convergence des différentes économies et serait l’occasion de resserrer les liens entre les 18 membres.
Difficile, toutefois, de ne pas imaginer des conséquences plus dramatiques. « La Grèce est peut-être montée à tort dans l’euro mais, en s’en séparant, on ne va pas simplement décrocher un wagon », souligne Yves Bertoncini, du think tank Notre Europe-Institut Jacques Delors.

« Juridiquement compliqué »

La sortie de la Grèce marquera inévitablement les esprits. « On fait un exemple avec la Grèce en imaginant que les autres se tiendront à carreau. Mais s’il ne faut plus craindre les spéculateurs, il faudra craindre les opinions. On aura dit : “Vous êtes le maillon faible : au revoir !’’ Cela n’encourage pas à l’amitié entre les peuples… », commente cet expert de l’Europe, imaginant que des pays surendettés, où les réformes traînent, seront dans la ligne de mire de cette « Europe des économistes ».
La dislocation, progressive ou brutale, de toute la zone euro est à craindre. « Tout le monde n’est pas calqué sur le modèle allemand. J’ai très très peur », appuie François Heisbourg, de la Fondation pour la recherche stratégique, remarquant que « comme lors des quinze jours précédant la déclaration de la première guerre mondiale, les protagonistes ne cherchent plus à éviter l’événement mais à organiser la défense de leur rôle dans cet événement ». Allemands et Grecs tentent chacun de leur côté, de fait, d’éviter de porter la responsabilité d’un « Grexit ».
L’avenir de l’UE est plus inquiétant encore. La monnaie commune fut pensée comme l’aboutissement de l’adhésion à l’UE. Certains pays, à l’instar du Royaume-Uni, ont eu une dérogation, mais comment traiter le cas grec ? Peut-on rester membre de l’UE après avoir été membre de l’euro ? « Juridiquement, c’est très compliqué », estime M. Heisbourg, qui redoute que l’on renvoie la Grèce« quelque part entre les Balkans et le Levant ». Car, contrairement à l’union monétaire, une sortie de l’UE est, elle, prévue dans les traités à l’« article 50 ».

Rire ou pleurer?

Les Grecs ont défié dimanche soir l'Europe, en rejetant massivement le référendum sur le plan des créanciers internationaux de leur pays. Du coup, faut-il pousser la Grèce vers la sortie de l'euro, ou l'y maintenir malgré tout? C'est le dilemme auquel l'Union européenne doit désormais faire face. Mais une chose est sûre: la question et le non au référendum ont fait la joie des dessinateurs de presse. Petit tour en images.

(Newsnet)

(Créé: 06.07.2015, 09h4


http://www.tdg.ch/monde/europe/Le-non-grec-vu-avec-humour-par-les-dessinateurs-/story/20066832

Bien d'accord avec toi, ami...cela n'augure rien de bon!

Rapide rappel en images des principales dates de la crise de la dette

http://www.lematin.ch/monde/europe/grandes-dates-crise-grecque/story/15927971

Personnellement j'adhère complètement à cette réaction:

Citation :

Victoire du Non en Grèce :

Citation :

Une victoire de la démocratie !
La campagne de peur organisée par la Commission de Bruxelles et la Banque centrale européenne a échoué ! La BCE n’avait pas hésité à geler l’alimentation des banques grecques en euros pour mettre l’économie grecque à genoux et semer la panique chez les déposants. En dépit de cette campagne, les électeurs grecs, dans leur majorité, ont refusé les propositions des créanciers de la Grèce.
Ces propositions avaient pour unique objectif d’empêcher la Grèce de servir d’exemple, en Espagne, en Italie ou en France et de montrer que, quelles qu’en soient les conséquences, il était impossible de résister à l’ordre néolibéral. Il fallait pour cela punir la Grèce et continuer à la maintenir dans la triple catastrophe, économique, sociale et financière que lui avait infligée la Troïka.
Après la victoire du Non, les négociations doivent reprendre immédiatement. Les dirigeants européens doivent entendre ce que vient d’affirmer la peuple grec : ni sortie de l’euro, ni humiliation et destruction sociale.
La dette grecque doit être restructurée, comme le demande le gouvernement grec. Le FMI lui-même vient de reconnaître qu’elle est insoutenable et impossible à rembourser.
La BCE a entre les mains le maintien de la Grèce dans la zone euro : elle doit se remettre à fournir normalement les banques grecques en euros, comme elle le fait pour toutes les autres banques de la zone euro. Si la BCE n’acceptait pas de traiter la Grèce comme doit le faire tout banquier central chargé d’alimenter les banques en liquidités, c’est elle qui prendrait la responsabilité, avec l’assentiment des 18 pays de la zone euro - autres que la Grèce - et de la Commission européenne, d’expulser la Grèce de l’euro. Les conséquences de cette expulsion seraient incalculables, non seulement pour le peuple grec, mais pour tous les peuples européens, l’avenir de l’euro et de l’Union européenne.
François Hollande doit se situer clairement du côté du peuple grec et se rappeler que son ennemie n’est pas la démocratie mais « la Finance » !
Athènes le 5 juillet 19h30
Gérard Filoche  (membre du Bureau national du Parti socialiste et rédacteur en chef de Démocratie&Socialisme)

Ce non est une claque pour les banquiers allemands et il vont devoir réviser leur stratégie hégémonique. Ils n'ont pas impressionné l'un des plus petits pays de la zone Euro dont on voulait tuer les retraites et les salaires une nouvelle fois! Jamais plus la relation à la technocratie Bruxelloise ne sera la même .
Maintenant il va falloir trouver une solution de bon sens
En France quand un créancier est incapable de rembourser sa dette on met en œuvre une procédure de gestion du surendettement où tous les créanciers font un effort , avec l'arbitrage de la banque de France pour abandonner une part des créances et redonner une chance au débiteur. Il serait incroyable que l'Europe ne sache pas mettre en place ce système entre nations!

http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/07/02/03002-20150702ARTFIG00110-costa-gavras-tsipras-fait-tout-pour-tenir-ses-promesses.php

Une personnalité grecque sort de l'ombre....

Selon le cinéaste Costa-Gavras : le seul espoir des Grecs, c’est l’Europe !

http://fr.euronews.com/2015/07/10/selon-le-cineaste-costa-gavras-le-seul-espoir-des-grecs-c-est-l-europe/

Ah oui Costa-Gravas trouve que Tsipras est cohérent avec ses promesses !!!!!!!!
Rapellez moi pourquoi les grecs ont voté non ? non qu'il a encouragé d'ailleurs .....je rêve .

Tsipras a manœuvré en "politicien" .

Il s'est trouvé une légitimité pour ses revendications.
il a coupé l'herbe sous les pieds de la Merckel.
Il a obtenu "plus" que l'offre initiale .

Bon...
Vous auriez quand même pas voulu qu'ils aient le beurre et l'argent du beurre ?
A un moment il faut savoir écraser .

Face à la Grèce, l’espoir renaît sur les marchés


http://www.tdg.ch/economie/accord-sauver-olives-feta/story/26194996

De quel beurre vous parlez j'aimerai bien savoir qui se beurre les tartines en Grèce sûrement pas ceux qui ont voté non .
Les retraités par exemple qui sont partis à la retraite à moins de 60 ans mais je fais partie d'une génération où nous sommes partis pour beaucoup à 60 ans et moins et je ne parle même pas de la flopée des prés retraités dont j'en connais beaucoup et dans beaucoup d'administration pour ne citer que l'enseignement .Alors nous n'avons pas de leçons a donner sur bien des points .

Parce que vous vous imaginez que la grèce est sauvée ? , jusqu'à la prochaine fois .Je ne suis pas sûre que ce soit  que  la grèce qui soit sauvée  .....
Les propositions sont identiques pratiquement à ce qu'il avait refusé jusque la pourquoi les avoir refusé alors ? Se retrancher derrière son peuple pour en fin de compte faire comme si de rien n'était vous parlez d'une manoeuvre !!!!!manoeuvre qui vaut bien celle du vote des français en 2005 mis à la poubelle par Sarkosy  , nous n'avons pas le même sens de la démocratie .
Et son peuple saura s'en souvenir j'espère .

http://lesakerfrancophone.net/crime-et-chatiment/

Il a obtenu "plus" .
Pas beaucoup plus,mais un peu plus .

Je suis d'accord que la Grèce n'est pas sauvée pour autant .
Mais il a entrouvert la porte à une autre Europe .

Je me souviens étant tout gosse des premières années de l'Europe.
Nous étions tous "pour" .
En premier lieu prcq c'était la fin des guerres intraeuropéennes.

Maintenant évidemment ....
Ca a fort changé ....
Pour tout dire ,je ne sais plus l'encaisser ...

J'aimerai bien que l'Europe devienne sociale , mais je crains qu'il n'ait entr'ouvert rien du tout , l'Europe et ses technocrates ont des œillères et ne vont pas changer de cap , sauf le jour où peut être il sera trop tard et pas que pour la Grèce .
Contrairement à vous sans doute je n'ai jamais au grand jamais cru à l'Europe du moins comme ils nous la vendaient et ai toujours voté contre à tous les traités .
C'est sans doute pour ça que je réagis de cette façon concernant la Grèce .

On ne sait plus vers quel dieu de l'Olympe se tourner!!!

Le point de vue de José Castano

Les Grecs sont responsables de leur malheur ! (Suite)

Et les banquiers alors ?


Ce qui est inouï et ahurissant, c'est que tout le monde connaissait par trop le « système D » grec et sa panoplie de malversations quand ce pays a rejoint l’Union Européenne… Bon nombre de chefs d’état européens connaissait les magouilles du banquier Goldman Sachs pour faire entrer la Grèce dans l’Europe alors que ce pays était insolvable faute de lever l’impôt… Beaucoup n’ignoraient pas (ou feignaient d’ignorer) l’aide apportée à la Grèce par Mario Draghi, l’actuel gouverneur de la Banque Centrale Européenne, collaborateur durant quatre ans de Goldman Sachs,  pour maquiller ses comptes publics … ce qui permit à cette même BCE de racheter la dette grecque détenue par les banques commerciales… remboursée à coups de milliard d’euros par les états européens. Tout le monde s’est tu sachant combien les banques ont gagné des taux d’intérêt très élevés… C’est là un véritable holdup impuni dont ont été victimes tant le peuple grec que les contribuables européens.
Et ce n’est pas fini !...
Au Portugal et à Madère (également) tout le monde vit bien : Maison, voiture, confort ménager dernier cri, vacances… mais tout le monde sait, dans la zone euro, que ce « bien être » est acquit avec des salaires de 400 euros par mois. Seulement voilà ! L’argent gagné en sus n’est pas déclaré et ne peut donc alimenter les caisses de l’Etat. Là encore, il va y avoir un de ces réveils !...
Comme les oligarques qui nous gouvernent sont élus par un peuple par trop immature et servile et que toute cette faune de gauche continue d’aduler le nom du « Sauveur DSK », nous pouvons d’ores et déjà leur parler de Carmagnole en leur promettant que si, demain, la France rejoignait la Grèce au banc de l’insolvabilité, cela risquerait de chauffer grandement pour eux… Le peuple leur apprendrait alors le jacobinisme, cette doctrine politique qui défendait durant la Révolution française la souveraineté populaire et l’indivisibilité de la République française. Ca leur ferait soudainement drôle à tous ces nantis de la politique, ces faux-culs de la droite molle et de la gauche caviar !...
OUI, tout le monde connaissait ces dérives quand ces pays ont accédé à l’UE, sauf qu’il n’y avait que la banque Goldman Sachs, la Banque Rothschild, la Banque  Centrale Européenne et ses satellites dévoyés pour ignorer cette non imposition généralisée des peuples grec, italien, espagnol, portugais...
Allons amis patriotes, taisez-vous et continuez de payer sans révolte ! En France, nous ne sommes pas mieux lotis ; à quand notre tour ?...
                                             
                                                                      José CASTANO

 Infos du jour avec photos

Eurogroupe: le scénario d'un «Grexit» revient sur la table

http://www.tdg.ch/economie/eurogroupe-grece-continuera-dimanche/story/26127528

Oui mais aussi pour rappel

http://www.franceinfo.fr/emission/histoires-d-info/2014-2015/quand-l-entree-de-la-grece-dans-la-cee-n-enthousiasmait-pas-grand-monde-1981-07-07-2015-04

On n'avait qu'à les laisser tranquille dans leur coin , les allemands payer leur dettes de guerre et ils n'auraient certainement pas 300 milliards de dettes actuellement .

Je suis allée en Grèce à fin du régime des colonels en 1974 tout était calme et ils ne semblaient pas malheureux du tout .
Une petite anecdote pour le rire ;
Un jour pendant notre séjour nous avons pris un taxi , bien sûr dans l'esprit du grec des touristes ne sont pas pressés , donc nous avons eu droit qu'il fasse ses courses passer chez son garagiste entre autre , donc nous avons fait 3 fois plus de kms que prévu , mais bon pas plus cher sauf qu'il fallait pas être pressé
Autre anecdote
Nous avons visité l'acropole nous nous sommes faits un bisou d'amoureux que nous étions , on s'est fait engueuler sévèrement par le gardien , interdit de s'embrasser le lieu étant considéré comme sacré , de plus nous avions un tekel nain noir , interdit au chien aussi alors nous sommes revenus le lendemain et nous avions caché le chien dans le grand sac que tient mon mari

De bien beaux souvenirs...merci de nous les avoir offerts en partage!

*Qu'ils étaient beaux ces deux amoureux
tendrement enlacés au pied de l'Acropole,
c'était au bon temps de leurs années folles...
leur amour rendait même jaloux les dieux!*
Klary

L'accord est commenté "ici",mais tout ça reste très "flou"...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/13/crise-grecque-un-accord-unanime-trouve_4681077_3234.html

"quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup",disait la grand mère du petit chaperon rose Aubry

Citation :

"C'est un peu grâce à Sarkozy", le web se moque de la phrase d'Eric Woerth

Citation :

Read more at http://www.lexpress.fr/actualite/politique/ump/c-est-un-peu-grace-a-sarkozy-le-web-se-moque-de-la-phrase-d-eric-woerth_1698480.html#eyDSgkOoGbayVtCL.99

Pour l'ancien ministre Eric Woerth, l'accord conclu entre Bruxelles, Paris, Berlin et Athènes ce lundi matin a en partie été rendu possible par les déclarations de Nicolas Sarkozy. Des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir les internautes sur les réseaux sociaux.

Eric Woerth va peut-être regretter ses paroles. Invité de BFMTV ce lundi matin, l'ancien ministre a déclaré que si les négociations des Européens avec la Grèce avaient réussi, c'est, indirectement, parce que "l'appel de Sarkozy n'est pas resté lettre morte".  
Le député de l'Oise faisait référence aux déclarations de l'ancien président de la République qui avait appelé dimanche soir François Hollande "à se ressaisir" et à accepter les conditions des Allemands. "Visiblement, l'appel de Nicolas Sarkozy n'est pas resté lettre morte, puisqu'il y a eu des propositions allemandes acceptées par la France", a déclaré Eric Woerth. 

#CestUnPeuGraceASarkozy

Nicolas Sarkozy n'ayant pas participé aux négociations, cette phrase, repérée par Le Lab qui a titré "Pour Eric Woerth, s'il y a eu un accord sur la Grèce, c'est un peu grâce à 'l'appel de Nicolas Sarkozy'", n'a pas maqué de faire réagir les internautes. 
Le hashtag #CestUnPeuGraceASarkozy, "C'est un peu grâce à Sarkozy", a ainsi vite gagné en popularité sur Twitter, au point de faire partie des "trending topics", les sujets les plus récurrents du site en France. 
Les utilisateurs de Twitter l'ont utilisé pour se moquer d'Eric Woerth et de sa propension à parler de Nicolas Sarkozy, même quand ce n'est pas nécessairement en lien avec l'actualité: 

Finalement mieux vaut en rire!
GIBET en forme

Un tch'i peu grâce à Sarkosy ne soyons pas vache et très beaucoup grâce à Hollande , si nous allons devoir mettre la main à la poche pour rien ,  oh 16 milliards de plus ou de moins nous n'en sommes plus la avec nos plus de 2000 milliards de dette....

Lili fatiguée

...meilleur des titres, ce matin...

http://www.tdg.ch/monde/europe/tsipras-doit-adopter-mesures-austerite-parlement/story/19923638

http://www.tdg.ch/monde/europe/Ce-qu-a-decide-la-zone-euro-pour-la-Grece/story/21342005

http://www.tdg.ch/monde/thisisacoup-twitter-s-engage-grece/story/30305880

Lysli@ne a écrit:

De quel beurre vous parlez j'aimerai bien savoir qui se beurre les tartines en Grèce sûrement pas ceux qui ont voté non .
Les retraités  par exemple qui sont partis à la retraite à moins de 60 ans mais je fais partie d'une génération où nous sommes partis pour beaucoup à 60 ans et moins et je ne parle même pas de la flopée des prés retraités dont j'en connais beaucoup et dans beaucoup d'administration pour ne citer que l'enseignement .Alors nous n'avons pas de leçons a donner sur bien des points .

Parce que vous vous imaginez que la grèce est sauvée ? , jusqu'à la prochaine fois .Je ne suis pas sûre que ce soit  que  la grèce qui soit sauvée  .....
Les propositions sont identiques pratiquement à ce qu'il avait refusé jusque la pourquoi les avoir refusé alors ? Se retrancher derrière son peuple pour en fin de compte faire comme si de rien n'était vous parlez d'une manoeuvre !!!!!manoeuvre qui vaut bien celle du vote des français en 2005 mis à la poubelle par Sarkosy  , nous n'avons pas le même sens de la démocratie .
Et son peuple saura s'en souvenir j'espère .

http://lesakerfrancophone.net/crime-et-chatiment/

Je ne suis pourtant pas Sarkoziste, mais l’honnêteté veut que je le défende sur ce coup là !!
Il n'a pris personne en traitre !! Il annonçait, dans son programme et le disait dans ses meeting et lors d'interviews, qu'il ferait revoter  par l'Assemblée Nationale ce qui avait été rejeté par les Français.
Il a été élu en toute connaissance de cause.
Donc venir ensuite le lui reprocher est des plus malvenu et malhonnête.

C'est toute la réflexion que t'inspire ce post ?

Sauf que moi je n'ai pas voté Sarkosy alors oui je peux me permettre de le lui reprocher et je le ferai autant de fois qu'il me le plaira . .même si ça ne change rien au final maintenant .

De l'argent il y en a de par le monde ....la preuve!!

Citation :

Combien y a-t-il d’argent dans le monde ?
Différents agrégats monétaires permettent de mesurer la quantité de monnaie de chaque pays. On peut les représenter comme un continuum partant des formes les plus liquides (la monnaie comme moyen d’échange) aux moins liquides (la monnaie comme réserve de valeur).



La carte ci-dessous représente la compilation des measures des 102 monnaies les plus communément utilisées (M0, M1, M2 et M3) dans 138 pays.


 
Trois des cinq unions monétaires sont clairement identifies sur cette carte. Les deux autres sont l’IEOM qui utilise le franc pacifique dans trois pays (la Nouvelle Calédonie, la Polynésie Française et le Territoire de Wallis et Futuna)  et l’ East Caribbean Currency Union qui utilise l’East Caribbean Dollar dans huit pays.



Le graphique suivant représente la croissance de la masse monétaire mondiale depuis 1971, dernière année où une monnaie était convertible en or. En effet, le dollar devint inconvertible en or le 15 Août 1971.





Les monnaies en circulation



Quatre monnaies (l’Euro, le Dollar américain, le Yen Japonais et le Yuan) représentent pratiquement 75% des billets et pièces circulant dans le monde.

 

Pays / Union monétaire	Code	Montant en milliards de dollars (Billion US$)	Pourcentage de toutes les monnaies en circulation
Union Européenne	EUR	1035.2	24.30%
Etats Unis	USD	850.7	19.97%
Japon	JPY	762.4	17.90%
Chine	CNY	492.3	11.56%
Inde	INR	140.3	3.29%
Russie	RUR	110.8	2.60%
Royaume Uni	GBP	87.5	2.05%
Canada	CAD	43.8	1.03%
Suisse	CHF	40.3	0.95%
Pologne	PLN	37.7	0.89%
Brésom	BRL	37.3	0.88%
Mexique	MXN	34.3	0.81%
Australie	AUD	32.4	0.76%
Autres (89)	-	554.9	13.03%

 
Le graphique suivant représente le montant de monnaie M0 pour les monnaies analysées dans cet article.

Il est manifeste que les quantités de monnaie en circulation s’accroissent de manière de plus en plus rapide. Le niveau de 1.000 milliards de dollars a été dépassé en 1990. Douze années plus tard, le montant total dépassait les 2.000 milliards. Ce montant a de nouveau doublé pour dépasser les 4.000 milliards au début de 2008.



Mon opinion est que, bien qu’il y ait de très fortes probabilités que le prix des actifs continue de baisser ces prochaines années, le fort accroissement des quantités de monnaie mènera à une augmentation continue du prix des biens de consommation.



De nombreux commentateurs en déduiront que nous assistons simultanément à une déflation et à une inflation, mais lorsque l’on applique la définition classique de l’inflation, à savoir la hausse de la masse monétaire, il est clair que nous sommes dans une période très fortement inflationniste.




Mike Hewitt

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Finalement je me demande comment on fait nous pour en avoir si peu

De la vraie monnaie ou de la virtuelle .....
Nous les pékins toi ou moi tu veux dire ? parce que si c'est de nous dont tu parles , n'est pas escroc qui veut

Lysli@ne a écrit:

De la vraie monnaie ou de la virtuelle .....
Nous les pékins toi ou moi tu veux dire ? parce que si c'est de nous dont tu parles ,  n'est pas escroc qui veut

Oui ça c'est de la monnaie qui circule...la virtuelle doit multipleir le circulante au moins par 10

Oui je parlais de nous !!!

Ben oui finalement nous on pratique l'honnêteté telle qu'on nous l'a apprise!

Mais comme disait mon père: " On a peut être rien ...mais cela nous appartient!!!"