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 Une pandémie? Oùçà?

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GIBET
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GIBET


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MessageSujet: Une pandémie? Oùçà?   Une pandémie? Oùçà? Icon_minitime28/1/2010, 01:30

L'OMS sommée de s'expliquer sur la grippe A
LE MONDE | 27.01.10 | 14h34 • Mis à jour le 27.01.10 | 14h34

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a-t-elle surestimé le risque représenté par la grippe A(H1N1) sous la pression de l'industrie pharmaceutique ?
Invitée à répondre à cette question lors d'une audition publique, mardi 26 janvier, par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), l'agence onusienne s'est défendue d'avoir été influencée par les laboratoires quand elle a déclaré, en juin, l'état de pandémie de grippe A(H1N1).

Colère de Novartis contre le gouvernement français "Le gouvernement français n'a pas respecté ses engagements, a déclaré, mardi 26 janvier au Monde, le PDG de Novartis, Daniel Vasella. Lors de la prochaine pandémie - et il y aura une nouvelle pandémie -, nous servirons en priorité les Etats "fiables"."
M. Vasella fait référence à la résiliation de la commande auprès de son laboratoire de 7 millions de doses de vaccin contre la grippe A (H1N1), dont une partie avait déjà été fabriquée.

A l'origine de cette audition : les inquiétudes de l'épidémiologiste allemand Wolfgang Wodard, ancien président de la sous-commission de la santé de l'APCE, qui accuse l'OMS d'avoir exagéré la menace de la grippe "sous la pression des laboratoires". Une hypothèse qu'étaie l'enquête publiée ce même mardi par le quotidien Le Parisien, qui affirme que "les liens d'intérêt entre six experts de l'OMS et des firmes pharmaceutiques sont avérés". Le fait que des experts siégeant dans des comités de santé publique nationaux ou internationaux soient partiellement financés dans leurs recherches par des laboratoires privés n'a rien de nouveau ni d'exceptionnel. Ces collaborations sont généralement déclarées. Les experts concernés assurent qu'elles n'entravent en rien leur indépendance d'esprit.Très critiquée sur sa gestion sanitaire de la grippe A, et plus encore depuis que s'éloigne le risque d'une pandémie ravageuse, l'OMS ne s'en retrouve pas moins sur la sellette.
Interrogé par le Conseil de l'Europe - organisation qui a pour mission de "favoriser en Europe un espace démocratique et juridique commun" -, le docteur Keiji Fukuda, conseiller auprès du directeur général de l'OMS sur les pandémies, a affirmé que les mesures recommandées par son organisation "n'ont pas été indûment influencées par l'industrie pharmaceutique". Cette industrie, a-t-il déclaré, "dispose
d'une expérience et d'un point de vue qui lui sont propres, et nous tenons à bénéficier de tous les points de vue pour formuler les directives les plus pertinentes possibles"
. "Mais nous avons tout fait pour mettre en place un système solide afin d'empêcher les conflits d'intérêt", a-t-il ajouté."Au cas par cas"Les conseillers spécialisés remettent à l'OMS une "déclaration d'intérêt", signée, exposant en détail "tous les éléments professionnels ou financiers qui pourraient nuire à l'impartialité de leurs avis", a-t-il indiqué, précisant : "Et s'il apparaît un risque de conflit d'intérêt, nous faisons une enquête. Après quoi, une décision est prise au cas par cas."
Autre sujet faisant polémique : les bases scientifiques sur lesquelles a été décrété par l'OMS l'état pandémique de la grippe A(H1N1). La définition d'une pandémie mondiale grippale, naguère caractérisée par un nouveau virus entraînant des taux de mortalité nettement supérieurs à une grippe normale, a récemment été modifiée par l'OMS. Selon ces nouveaux critères, il y a pandémie lorsqu'un nouveau virus se répand à travers le monde.Or "le nouveau virus s'est propagé, à une vitesse sans précédent, à 120 pays et territoires en huit semaines à peine", a rappelé le docteur Fukuda, précisant qu'"un comité d'experts des huit pays les plus exposés a estimé à l'unanimité, le 11 juin 2009, que les critères étaient réunis pour déclarer la pandémie". D'après le dernier bilan de l'OMS, daté du 22 janvier, le virus H1N1 a tué "au moins 14 142 personnes" dans le monde.Egalement entendu par l'APCE, le docteur Luc Hessel, représentant du Groupe des producteurs européens de vaccins (EVM), a pour sa part affirmée que "les vaccins pandémiques ont été développés et testés de façon rigoureuse" et qu'ils ont été administrés "de façon satisfaisante" à des millions de citoyens européens."Les vaccins H1N1 ont démontré leur efficacité et leur tolérance à travers des essais cliniques chez des milliers d'individus de tous âges dans le respect des procédures réglementaires les plus strictes", a-t-il poursuivi pour répondre aux accusations du docteur Wodard. Lequel estimait, dans une proposition de recommandation présentée le 18
décembre avec treize autres membres de l'Assemblée parlementaire, que les sociétés pharmaceutiques avaient incité les autorités à gaspiller des ressources destinées aux soins de santé en faveur de "stratégies de vaccination inefficaces".Considérant que des millions de personnes en bonne santé (plus de 38 millions de vaccinations ont été effectuées en Europe) ont ainsi été exposées
inutilement "au risque d'effets secondaires non connus de vaccins n'ayant pas été suffisamment testés", les signataires de ce texte estiment que les 47 Etats membres du Conseil de l'Europe devraient demander "des enquêtes immédiates" sur les conséquences du déclenchement de la pandémie aux niveaux nationaux
et européen. Le bureau de l'APCE a prévu d'examiner, vendredi 29 janvier, les suites à donner à cette proposition. Catherine Vincent
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