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 Le quotidien au lycée : enfermement et soumission

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MessageSujet: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime20/11/2010, 19:48

Citation :
« L’école est une prison », clame Catherine Baker*. Ces mots peuvent prêter à sourir. Pourtant, il s’agit bien d’une privation de liberté, autant physique qu’intellectuelle.
Cette année, j’ai effectué ma rentrée dans un nouveau lycée. Etant loin de chez moi et sans ressources financières, je suis donc interne dans ce bunker (murs de 2,5m, caméras de surveillances, gardiens … etc).

Chaque matin, à 7h, la lumière criarde des néons suspendus au plafond de la chambre (16m2 pour 4 personnes) me réveille. Je vais ensuite prendre ma douche (froide) dans une cabine de piscine puis prendre mon petit-déjeuner. Un petit pain, un morceau de beurre fade, un bol d’un café infect et un minuscule gobelet de jus de fruit. Voilà mon premier « repas » de la journée. La sonnerie, une sirène incendie, nous ordonne de rentrer en cours. Nous devons laisser à l’entrée de la classe nos pensées, nos discussions et notre dignité afin d’être totalement réceptifs pour assimiler les valeurs du travail intensif et de la concurrence entre nous. La carotte (les bonnes notes) et le bâton (les sanctions) sont appliqués avec volontarisme par des professeurs plus ou moins zélés.

La journée s’écoule ainsi, sonnerie assourdissante puis cours lobotomisant, entrecoupés par le repas de midi, mélange de légumes en plastique et de viande en carton, le tout dans une odeur nauséabonde.
Le soir venu, nous avons la « liberté » d’aller acheter des sodas au hard-discount situé à proximité.
La soirée à l’internat n’est qu’une interminable attente. Nous restons allongés, catatoniques, sur nos lits, fixant les lézardes du plafond en écoutant les dernières merdes musicales. Puis vient l’heure du diner, des restes de midi réchauffés. Suite à ce festin, quelques jeunes jouent au foot, pratique encouragée avec vigueur par l’administration scolaire. En effet, quand on est occupé par le sport, on risque moins de réfléchir à nos conditions d’existence … Pour les autres, l’attente continue, jusqu’à la fermeture automatique et centralisée des volets et de la lumière. Toute évasion, même par la pensée, nous est interdite. La nuit s’écoule, dans notre petit lits, jusqu’au lendemain, ou tout recommence.

Soumission, enfermement et déshumanisation sont les maitres mots de ce quotidien. Après tout, nous sommes à l’école afin de devenir de braves employés serviles et mal payés, pas pour vivre heureux.

Fabien Bon, Lycéen

Citation :
Le lycée, ou le temple de l’ennui.

Le réveil sonne, et ça pique. On n’a pas encore inventé la sonnerie qui est la même que celle du lycée pour moi le matin, j’espère que ça va venir. On ne mange pas vraiment, sauf un peu de désespoir, mais ça fait mal au ventre. On arrive au lycée, après un trajet entre rêves lointains, musiques à l’égal de l’humeur… et on arrive.
Destination finale, on n’y est pas venu pour rien, on ne va pas tarder à le comprendre.
On entre, des cravatés te fliquent, l’œil vif, plein d’autorité et de pouvoir administratifs des bas-fonds de la république. Marche contres les murs, seul, montant un escalier sombre. Le bruit de mes pas résonne, comme des cris de cloches, dans mes tympans, dans mon cerveau. J’arrive au dessus, une grande lumière sur tout le couloir, des gens qui rient, qui s’exclament. J’entends même la culture, de là ou je suis : « facebook » comme discussion philosophique matinale. N’étant pas philosophe pour deux sous (même plus !), je ne prends pas place dans ces conversations réservés aux êtres intelligents (encéphale hautement développée apparemment). Le temps de chercher ma salle, comme un lieu où on déteste aller, mais ou on va. J’y arrive, ça y est, la liberté, la jouissance, la délivrance. Un bonhomme, dans sa lucidité pourrie de prof qu’on a bien martelé de conneries me dit que je suis en retard. Je réponds à ça un « ah. Ok » d’élève fort angoissé de ce retard perturbant un cours intéressant qui n’avait en fait pas encore commencé. Les autres rient ; ça les amusent de voir un mec arriver les mains dans les poches, et qu’en a rien à secouer, du moins je pense. Moi, je ne ris pas, je me tais. Je m’assois à une chaise qui n’attendait que mon postérieur. Le cours commence, du moins je crois. A partir de là, une tentative pour finir ma nuit de sommeil de trois heures déjà commence. Mais les profs n’aiment généralement pas (à part un prof qui m’amenait un oreiller pour que je dorme bien, et je l’en remercie encore) que l’on n’écoute pas son cours, qu’on dorme. Manque de droiture, tant physique que psychologique. Alors je me force à écouter un cours, qui me fait penser à la bible. C’est pas loin d’être les mêmes paroles, mais il ne parle pas de Marie, je suis déçu. A côté de moi, une fille s’appelle Marie, aussi belle que simplette( elle est très simplette d’ailleurs). L’anti-communiste convaincue du prof me fait à vrai dire marrer, comme s’il ne pourrait en fait pas vivre sans le communisme (c’est ça le plus drôle). Mais il est fier, bien réveillé, peut-être sous antidépresseurs (c’est un aliment du 21ème siècle comme un autre, si vous voulez vous lancez, n’hésitez pas). Ça y est, la lassitude est omniprésente. Cela fait 20 minutes que je suis en cours, il ne reste que 8 heures, heureusement. Ils ont même mi l’horloge avec le tic-tac que j’ai la chance d’entendre, histoire de compter les secondes dans un cours d’Histoire qui s’écoule seconde après longues secondes. Une heure et quarante et une minute après, je suis dehors, devant ce lycée aux portes qui me font penser à… des petits barreaux de prison, oui c’est ça. Je retrouve des mecs qui auraient pu écrire ça, qui s’ennuient autant que moi. On fume sur nos clopes comme on aimerait tirer sur des bleus. (Cela dit, on aime plus la clope que les bleus, faut pas croire hein.). On échange quelques paroles sur du Baudelaire, du Nietzsche, du Michel Drucker, grands écrivains et poètes qui nous offrent à tous une évasion importante, loin du « monde vieux et sourd ». On rentre, les sonneries continuent, fortes, très fortes. Le reste des heures de cours s’écument en jours (Boris, excuse-moi pour le mauvais jeu de mots). La journée est finie, après différentes choses qui n’ont plus de différences par leur répétivité. On croise encore quelques regards bovins, quelques poules qui hésitent entre picorer des graines et courir dans la neige, quelques fumeurs dépressifs, quelques têtes de profs sans âme. On attend le bus. L’attente, le silence, l’attente, le silence : le fil quotidien de nos vies de lycéens à la con. On arrive chez nous, un grand moment de joie et de fatigue à la fois : c’est comme le jazz, c’est le sourire du désespoir. Et là, on a nos devoirs, tant de lycéens que de citoyens convaincus et cons vaincus, devoirs que j’aime personnellement, quand je les flambe avec ma fraise de joint, qui me fait peut-être cette nuit inventer des mots (désolé si c’est le cas), et qui me fait écrire une histoire vachement pas prenante de journées vachement pas prenantes non-plus.
On continuera dans le temple de l’ennui, ils continueront aussi. Les rois ont leur disciples partout dans l’éducation, pour nous apprendre ce qu’est la démocratie, la vraie, la française !
Heureusement, loin de tout ce bordel, cette étable à porcs et vaches, il y a encore Brassens, Chopin, Miles Davis, et ça nous fait tenir.

Pour conclure, ce monde est une gigantesque tartine de merde dont on mange une bouchée chaque jour, et moi, je me gave de cette merde, et la ressort dans ce texte que vous venez de lire. En fait, ce texte c’est un peu une vasque de WC, si je suis ma douce et poétique logique.
Vous pouvez tirez la chasse d’eau, ça s’entassera dans la fosse sceptique avec les autres torchons de gens perdus dans un désespoir profond , dans un monde qui s’enfonce dans le néant.

Fermez les rideaux, y’a plus rien à voir, il n'y a plus rien, plus rien.


Jojo.
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GIBET
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime20/11/2010, 20:10

Je suis un ancien élève moi aussi (Buffon 1959 - 1967)
Cette école a également produit des lettres de certains de ses élèves
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[dailymotion]
Les cinq martyrs du lycée Buffon
envoyé par RioBravo. - L'info video en direct.[/dailymotion]
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Coco;) bel oeil

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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime20/11/2010, 21:14

Je suis très émotive et ce sont des choses qui me bouleversent,tu avais 12 ans alors GIBET ?

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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime20/11/2010, 21:46

Coco;) bel oeil a écrit:
Je suis très émotive et ce sont des choses qui me bouleversent,tu avais 12 ans alors GIBET ?

Il n'y a aucun crime de commis lorsqu'une armée en guerre, capture et fusille un civil pris les armes à la main.
Ceci est inscrit dans la Convention de Genéve.
Toute personne non militaire prise les armes à la main lors d'un conflit, sera considerer comme terroriste etpassée par les armes.

Fin de la pleurnicherie.

Il en va tout autrement des otages. Par contre considerer Mocquet, comme un "résistant" c'est se foutre de la gueule du monde.
Je rappelle quand même, qu'il fut emprisonné par un gouvernement de gauche, puisque distribuant des tracts communistes, parti qui, si vous avez la memoire qui flanche, fut dissout, et ses députés démis. Non par le Gvt de Vichy, mais par son predecesseur.
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 01:22

Quand on a des couilles comme dit un mec bien qui s'appelle Briard, on ne laisse pas une armée envahir son Pays sans réagir.
Mais il faut en avoir effectivement.
Eux en avaient.
Quand aux pleurnicheries j'estime qu'elles sont dans les premiers exemples de ce fil.
Là tu te goures de registre Briard!
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 02:08

GIBET a écrit:
Quand on a des couilles comme dit un mec bien qui s'appelle Briard, on ne laisse pas une armée envahir son Pays sans réagir.

Qu'a fait Mocquet contre "l'envahisseur" ? Réponse rien, il distribuait des tracts appellant à la fraternisation avec le soldat allemand.


Mais il faut en avoir effectivement.

Et c'est à moi que tu dis ça, sans honte ?

Eux en avaient.

Ai je critiqué les jeunes de Buffon ? La réponse est NON!!
J'ai seulement rappelé les Conventions de Genêve concernant les civils d'un pays en guerre pris les armes à la main, rien d'autre.
Quand aux pleurnicheries j'estime qu'elles sont dans les premiers exemples de ce fil.
Là tu te goures de registre Briard!


A aucun moment je n'ai dit que tu venais "pleurnicher" ami Gibet!!
C'est toi qui te goure de registre et de cible.
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 11:55

Briard a écrit:
Quand on a des couilles comme dit un mec bien qui s'appelle Briard, on ne laisse pas une armée envahir son Pays sans réagir.

Qu'a fait Mocquet contre "l'envahisseur" ? Réponse rien, il distribuait des tracts appellant à la fraternisation avec le soldat allemand.
Je ne parlais pas de Mocquet je sais que tu ne l'aime pas parce qu'il était communiste alors je n'ai pas fait de provocation Wink

Citation :
Mais il faut en avoir effectivement.

Et c'est à moi que tu dis ça, sans honte ?
Hep tu n'étais pas visé, et ul ne me viendrait même pas à l'idée de le faire à un ami. Là tu me big errare. J'évoquais les français de cette époque, rien de plus

Citation :
Eux en avaient.

Ai je critiqué les jeunes de Buffon ? La réponse est NON!!
J'ai seulement rappelé les Conventions de Genêve concernant les civils d'un pays en guerre pris les armes à la main, rien d'autre.
Ben oui mais derrière mon exemple cela sonnait comme un glas à la liberté de défendre sa patrie. D'autant que je voulais monter que certains propos d'aujourd'hui, comparés à d'autres du passé, manquent singulièrement de réactivité, et que c'est dû sans doute à un endormissement général des sensibilités. L'époque sans doute!!!
J'excluai toute agressivité à l'égard de quiconque

Citation :
Quand aux pleurnicheries j'estime qu'elles sont dans les premiers exemples de ce fil.
Là tu te goures de registre Briard!


A aucun moment je n'ai dit que tu venais "pleurnicher" ami Gibet!!
C'est toi qui te goure de registre et de cible.
Bondiou c'est l'âge alors si je ne comprends plus rien. Tiens je retourne me coucher ...comme les vieux!
Désolé.
Sad !!Et toi l'ami bon dimanche au soleil Wink
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 12:02

Citation :
Ben oui mais derrière mon exemple cela sonnait comme un glas à la liberté de défendre sa patrie. D'autant que je voulais monter que certains propos d'aujourd'hui, comparés à d'autres du passé, manquent singulièrement de réactivité, et que c'est dû sans doute à un endormissement général des sensibilités. L'époque sans doute!!!

Que ne dirait on pas par sagesse ;-)
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 12:16

<< Je ne parlais pas de Mocquet je sais que tu ne l'aime pas parce qu'il était communiste alors je n'ai pas fait de provocation Wink >>

Communiste ou pas là n'est pas la question !!
On veut nous le présenter aujourd'hui comme un "résistant" , c'est un mensonge. Et l'autre nabot voulait même faire lire sa lettre dans les écoles.
Il y a une limite à tout.

Mais il faut en avoir effectivement.

Et c'est à moi que tu dis ça, sans honte ?

Hep tu n'étais pas visé, et il ne me viendrait même pas à l'idée de le faire à un ami. Là tu me big errare. J'évoquais les français de cette époque, rien de plus

Alors méa culpa Ami Gibet.

Question "réactivité, je crois que je me pose là !! Et ma sensibilité sur ces questions est loin d'être en sommeil.Embarassed
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MessageSujet: Re: Le quotidien au lycée : enfermement et soumission   Le quotidien au lycée : enfermement et soumission Icon_minitime21/11/2010, 12:26

J'adore comme on a dévié quand même .. Very Happy

Citation :
On veut nous le présenter aujourd'hui comme un "résistant" , c'est un mensonge
Et on est d'accord : Sauf que je rappelle que tous les communistes n'ont pas appelé à la fraternisation avec les allemands ou de suivre l'Internationale et ce, depuis 1936 et le semblant de front antifasciste. Le groupe ouvrier et paysan renaît après l'interdiction du PCF, beaucoup de militants ont préféré ne plus se revendiquer communistes, certains se sont même suicidés à l'annonce du pacte germano-soviétique. Faut y penser à ça aussi !

Et comme dit, on a eu les FTP-MOI :