L'évocation de ce "crime de guerre" a été faite, en faisant ressortir la responsabilité de la chaine de commandement depuis l'Elysée qui, en mettant ces tirailleurs musulmans en première ligne, savait qu'un drame allait se produire.
Des tirailleurs qui voudraient se "dédouaner" auprès du FLN dont ils savaient qu'il allait demain être le maître de l'Algérie !
Aucun commando armé de l'OAS n'était présent sur place ! Même les plans de tirs farfelus fournis par les "enquêteurs" de... la gendarmerie mobile, ne peuvent en donner la preuve. Comment en effet des tirs de FM auraient pu traverser des immeubles de part en part pour atteindre leurs cibles qui, on l'imagine, devaient être ces fameux tirailleurs postés en travers de la rue d'Isly ! J'ai vu ces plans de tirs, tracés à la règle sur... des plans-papier. Invraisemblable !