La manipulation anti-raciste

LA MANIPULATION « antiraciste »



« Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition et d’honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs, mais elle ne doit pas oublier les raisons de s’estimer elle-même » (Albert Camus)



Le triple anathème « raciste-fasciste-xénophobe » est réservé de préférence à ceux qui défendent l’identité française et occidentale. La gauche internationaliste brandit cet épouvantail dans un but politico-idéologique évident : il s’agit de dévaloriser nos identités afin d’ouvrir la voie à une société « mondialisée ». La droite honteuse, quant à elle, est prête à toutes les concessions et à tous les reniements pour se laver de l’accusation. Elle croit habile de surenchérir, espérant séduire l’électorat en adoptant les valeurs de l’adversaire plutôt qu’en défendant les siennes. La diversité des ethnies, des cultures et des nations constitue pourtant une richesse irremplaçable. La construction d’un monde meilleur et plus fraternel n’impose nullement de renoncer à cette diversité pour la remplacer par une humanité grise, uniforme, standardisée, réduite à ses fonctions de consommation, de production et de reproduction, formidablement appauvrie et donc condamnée à la stagnation qui précède l’extinction des espèces.

Nous sommes, quant à nous, d’ethnie indo-européenne et de culture gréco-romaine et chrétienne dominantes. Nous avons construit notre civilisation sur ces bases, dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier, par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques. Pour autant, nous n’avons rien à renier, nous ne sommes redevables d’aucune « repentance » à l’égard de quiconque et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne. Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque, ne prétendons pas appartenir à une quelconque « race des seigneurs », ni à un soi-disant « peuple choisi », et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre. Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures, même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour, y compris de la part de communautés que la France accueille sur son sol, mais attention : la « tolérance » ne doit pas servir d’alibi à la démission !

Sur le plan politique, le chantage ne date pas d’hier. Staline et ses disciples occidentaux créaient déjà chez nous, dans les années 50, des fronts antifascistes contre un fascisme qui n’existait plus. Aujourd’hui, ses héritiers ont réactivé l’« antiracisme » pour condamner toute manifestation de préférence nationale au profit des Européens dans leurs propres pays. On récupère même l’anticolonialisme, érigeant le « racisme » en repoussoir idéologique dressé contre l’ex-puissance colonisatrice, un demi-siècle après les indépendances des colonies, alors que les conséquences d’une décolonisation hâtive ensanglantent et ruinent l’Afrique sous nos yeux. Nous avons même vu un Président de la République, plutôt que de défendre l’honneur et l’œuvre de la France, « demander pardon » à tout-va et déclarer que les valeurs fondatrices de la France étaient musulmanes autant que chrétiennes ! Les mouvements qui incarnent l’antiracisme unilatéral, inquisitorial, institutionnel et subventionné, prolifèrent sur ce terreau malsain. Ils tiennent le haut du pavé dans tous les domaines de la vie publique. Souvent marqués politiquement et même ethniquement, parfois au service de communautés rivales étrangères à notre culture, ils ne se rejoignent que pour stigmatiser les « souchiens » qui osent encore réclamer le statut et le respect auxquels ils ont droit. Les Français, culpabilisés au point d’en perdre leurs réflexes élémentaires d’auto-défense, prendront-ils enfin conscience de la manipulation ?



Robert SCHILLING

(rjp.schilling@wanadoo.fr)

Mouais, bof. Je m'attendais à un texte un peu plus solide quand même.
Actuellement, c'est l'extrême droite qui joue sur le fond social, mais qui défend un état xénophobe, raciste et théologique comme Israel et qui économiquement, joue la carte de l'économie de marché, du mondialisme à tout va.
C'est facile de venir cracher sur la " gauche ", en sachant que cette gauche libérale était trop cool trop longtemps, alors on revient aux fondamentaux néo-conservateurs.

Quand à la colonisation, excuses moi de te dire que les Ricains et les Chinois, recolonisent l'Afrique à tour de bras.
Si on est allez en Libye, c'est pour les intérêts financiers, rien de plus. Enfin bon ...

Moi j'ai me beaucoup ces textes profonds que l'on peut retourner comme un cheval qui se cabre ...avant de retomber sur le dos.
On les croit profonds parce qu'ils résonnent mais les tuyaux aussi le font
Alors je tente ma chance pour voir:

Citation :

LA MANIPULATION « de l'autodéfense »

« Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition et d’honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs, mais elle ne doit pas oublier les raisons de s’estimer elle-même » (Albert Camus)

Le triple anathème « raciste-fasciste-xénophobe » sert aujourd'hui à faire condamner ceux qui défendent les valeurs d'une humanité qui n'accepte pas d'être décérébrée par un populisme qui prétend défendre l’identité française et occidentale alors qu'elle désigne en fait ses nouveaux ennemis à la vindicte populaire.
La gauche internationaliste, parce qu'elle à d'autres valeurs que celle de l'argent roi est accusée de réfuter l'épouvantail de l'islam érigé par l'extrême droite dans un but politico-idéologique évident : il s’agit de faire peur à travers nos identités pour refuser toute voie à une société « cosmopolitique" La gauche honteuse, quant à elle, est prête à certaines concessions et à des reniements pour se laver de l’accusation de mondialisme. Elle croit habile de surenchérir sur des formulations identitaires, espérant séduire l’électorat en adoptant les valeurs de l’adversaire plutôt qu’en défendant les siennes. La diversité des ethnies, des cultures et des nations constitue pourtant une richesse irremplaçable. La construction d’un monde meilleur et plus fraternel n’impose nullement de renoncer à cette diversité pour la remplacer par une humanité grise, uniforme, standardisée, réduite à ses fonctions de consommation, de production et de reproduction, formidablement appauvrie et donc condamnée à la stagnation qui précède l’extinction des espèces.

Nous sommes, quant à nous, d’ethnies multiples indo-européenne métissée par les invasions musulmanes présentes dans notre culture depuis des millénaires malgré une influence gréco-romaine dominante dont la chrétienté à chassé les croyances paganistes antérieures pourtant fortement ancrées. Nous avons construit notre civilisation sur ces bases multiples et complexes , dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier, par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques.
Pour autant, nous n’avons rien à renier, nous ne sommes redevables d’aucune « repentance » à l’égard de quiconque et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne. Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque, ne prétendons pas appartenir à une quelconque «race des seigneurs », ni à un soi-disant « peuple choisi », et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre, ni même par le goupillon. Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures, même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour, y compris de la part de communautés que la France accueille sur son sol, mais attention : la « tolérance » ne doit pas servir d’alibi à la démission !

Sur le plan politique, le chantage ne date pas d’hier. Staline et ses disciples occidentaux créaient déjà chez nous, dans les années 50, des fronts antifascistes contre un fascisme qui n’existait plus. Aujourd’hui, ses héritiers ont réactivé l’«antiracisme » pour condamner toute manifestation d'ostracisme et de ségrégation sous l'appellation fallacieuse de "préférence nationale" pour exclure par peur de l'inconnu, tout ce qui n'est pas Européens dans leurs propres pays. Il est vrai qu'une certaine prise de conscience des excès du colonialisme fait la part des choses entre l'aide aux pays émergents et le « racisme » trop souvent présent dans l’ex-puissance colonisatrice, un demi-siècle après les indépendances des colonies, alors que les conséquences d’un capitalisme irresponsable, ensanglantent et ruinent l’Afrique sous nos yeux.
Nous avons vu un Président de la République, plutôt que de défendre l’honneur et l’œuvre de la France, « demander pardon » à tout-va et déclarer, à juste titre et l'histoire en témoigne, que les valeurs fondatrices de la France étaient musulmanes
autant que chrétiennes !
Les mouvements qui incarnent le racisme unilatéral, inquisitorial, institutionnel et subventionné, prolifèrent sur ce terreau malsain. Ils tiennent le haut du pavé dans tous les domaines de la vie publique. Souvent marqués politiquement et même
ethniquement, parfois pour soutenir des populations miséreuses contre les communautés rivales pas toujours étrangères à
notre culture, ils ne se rejoignent que pour stigmatiser les « souchiens» qui osent réclamer un statut qui n'a jamais été défini et qui exigent le respect qu'ils sont incapables d'offrir aux autres. Les Français, culpabilisés au point de se redonner des réflexes aux antipodes de leur culture nationale en se donnant des réflexes élémentaires d’auto-défense. Prendront-ils enfin conscience de la manipulation fomentée par l'extrême droite, sur les chantiers de la peur ?

NOTA: Détournement volontaire , par GIBET, du texte de Robert SCHILLING sur "l'antiracisme"

J'adhére tout à fait à ce passage :

Nous sommes, quant à nous, d’ethnies multiples indo-européenne métissée par les invasions musulmanes présentes dans notre culture depuis des millénaires malgré une influence gréco-romaine dominante dont la chrétienté à chassé les croyances paganistes antérieures pourtant fortement ancrées. Nous avons construit notre civilisation sur ces bases multiples et complexes , dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier, par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques.
Pour autant, nous n’avons rien à renier, nous ne sommes redevables d’aucune « repentance » à l’égard de quiconque et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne. Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque, ne prétendons pas appartenir à une quelconque «race des seigneurs », ni à un soi-disant « peuple choisi », et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre, ni même par le goupillon. Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures, même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour, y compris de la part de communautés que la France accueille sur son sol, mais attention : la « tolérance » ne doit pas servir d’alibi à la démission !

Briard a écrit:

J'adhére tout à fait à ce passage :

Nous sommes, quant à nous, d’ethnies multiples indo-européenne métissée par les invasions musulmanes présentes dans notre culture depuis des millénaires malgré une influence gréco-romaine dominante dont la chrétienté à chassé les croyances paganistes antérieures pourtant fortement ancrées. Nous avons construit notre civilisation sur ces bases multiples et complexes , dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier, par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques.
Pour autant, nous n’avons rien à renier, nous ne sommes redevables d’aucune « repentance » à l’égard de quiconque et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne. Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque, ne prétendons pas appartenir à une quelconque «race des seigneurs », ni à un soi-disant « peuple choisi », et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre, ni même par le goupillon. Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures, même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour, y compris de la part de communautés que la France accueille sur son sol, mais attention : la « tolérance » ne doit pas servir d’alibi à la démission !

J'ai essayé d'être honnête dans ma transformation du texte et j'ai sauvegardé les choses pertinentes.
Je trouve dommage que les amalgames que j'ai corrigées dans le texte d'origine privent ce texte d'une unanimité de vision en faisant des querelles inutiles et non justifiées
Dans notre Société qui commence à s'ouvrir à l'indignation et qui ira peut-être plus loin dans la réaction , tous les excès nuisent car ils aboutissent au repliement des éveils.
C'est le sens de mon texte qui n'est pas d'introduire des excès inverses mais d'associer le maximum de gens sur des vérités bonnes à dire
GIBET