Les vraies fausses vertus du chocolat

http://www.lepoint.fr/sante/les-vraies-fausses-vertus-du-chocolat-26-11-2010-1267418_40.php

à l'approche cette période de trés grande consommation de chocolat, ça ne va pas dans le sens des chocolatiers.

Alors là tu viens de faire disparaître ma seule et unique friandise quasiment sans sucre.
Ben çà alors tu parles d'un Joyeux Noël
Il me reste plus que les boules!!!
GIBET

GIBET a écrit:

Alors là tu viens de faire disparaître ma seule et unique friandise quasiment sans sucre.
Ben çà alors tu parles d'un Joyeux Noël
Il me reste plus que les boules!!!
GIBET

Si en plus elles sont au chocolat

Alors là de Noël je dirais ..."la barbe"!
C'est tout ce qui me restera
GIBET

La recherche du plaisir sans faute est un leurre. De nos jours on ne s'autorise plus à jouir tout en acceptant que cette jouissance puisse éventuellement nous nuire (le principe même de ma passion en fin de compte).

Je le remarque à chaque fois que je discute du sujet du cannabis sur un fora politique, il n'y est jamais question de plaisir mais toujours de santé et d'études cliniques dans le but de condamner sa consommation. Dans la même veine, on a le vin qui donne le cancer, la choucroute qui est trop salée, le sexe qui mène au sida, etc. C'est un discours de cul bénit !

Il me semble urgent de détacher la notion de plaisir de celle d'une bonne santé impérative, qui serait l'étalon moderne sur lequel nous devrions fonder toutes nos actions. Le fait que la consommation de chocolat s'assimile à la consommation d'héroïne de part son action sur la sécrétion de dopamine ne doit pas nous empêcher moralement d'en consommer à notre convenance. Et merde à tous les moralistes réactionnaires qui peuplent notre univers

Tu as raison moi j'ai toujours aimé marcher sur le bord de falaises, avec l'idée que plus la mort est proche et plus je vis pleinement.
Eh oui cela fait viril de vivre intensément en bravant l'interdit.
Ouahh , tout le monde sait qu'une petite pipe de temps en temps cela ne peut pas faire de mal. Je vais même jusqu'à ...manger la couenne du jambon. C'est dire à quel point je suis libre et affranchi de toutes les conventions!!
Mes gosses? C'est pas un problème. Si je crève ils hériteront!! Ah il sont encore petits... et merde je fais ce que je veux de ma vie! A bas les moralistes et les réactionnaires.
Bondiou aujourd'hui j'ai glissé sur le savon ..oui je le laissais volontairement par terre. Le risque fait partie de la vie et lui donne du piment..non?
Mais là c'est con.
Il y a bien quelqu'un qui va m'aider à me relever?
Chienne de société où il n'y a plus de solidarité.
A bas les réactionnaires.
Vous ne m'empêcherez pas de vivre ...à en crever par terre!
GIBET

6 -

Citation :

...qu'une petite pipe de temps en temps cela ne peut pas faire de mal...

Oui, c'est juste, je n'en disconviendrai pas. Si elle est bien faite pourquoi se limiter à de temps en temps ? Chaque quantième, voire plusieurs fois chaque jour, si on en a les moyens. Il n'y a pas de raison de cracher sur les opportunités.

Rien à faire, je préfère la clope

teenage prostitute a écrit:

La recherche du plaisir sans faute est un leurre. De nos jours on ne s'autorise plus à jouir tout en acceptant que cette jouissance puisse éventuellement nous nuire (le principe même de ma passion en fin de compte).

Je le remarque à chaque fois que je discute du sujet du cannabis sur un fora politique, il n'y est jamais question de plaisir mais toujours de santé et d'études cliniques dans le but de condamner sa consommation. Dans la même veine, on a le vin qui donne le cancer, la choucroute qui est trop salée, le sexe qui mène au sida, etc. C'est un discours de cul bénit !

Il me semble urgent de détacher la notion de plaisir de celle d'une bonne santé impérative, qui serait l'étalon moderne sur lequel nous devrions fonder toutes nos actions. Le fait que la consommation de chocolat s'assimile à la consommation d'héroïne de part son action sur la sécrétion de dopamine ne doit pas nous empêcher moralement d'en consommer à notre convenance. Et merde à tous les moralistes réactionnaires qui peuplent notre univers

C'est curieux, j'ai plutôt l'impression que la morale qui tend à dominer est plutôt celle d'une obligation de jouissance débridée... pour le plus grand bonheur des marchands et des publicitaires...
La coexistence avec l'hygiénisme montre, selon moi, que les deux logiques sont symétriques et que chcun des deux discours se nourrit de son opposition à l'autre...
J'aime mieux rester complètement en dehors du champ de bataille

EddieCochran a écrit:

6 -

Citation :

...qu'une petite pipe de temps en temps cela ne peut pas faire de mal...

Oui, c'est juste, je n'en disconviendrai pas. Si elle est bien faite pourquoi se limiter à de temps en temps ? Chaque quantième, voire plusieurs fois chaque jour, si on en a les moyens. Il n'y a pas de raison de cracher sur les opportunités.

ça c'est pas sympa Eddie, tu m'as devancé sur ce coup là !!

Ben moi je ne fume pas ..et je crois bien que l'on parlait de la même.
Et dans ce domaine ce n'est pas LE Blond ou le brun que j'aime.
GIBET

Quantat a écrit:

teenage prostitute a écrit:

La recherche du plaisir sans faute est un leurre. De nos jours on ne s'autorise plus à jouir tout en acceptant que cette jouissance puisse éventuellement nous nuire (le principe même de ma passion en fin de compte).

Je le remarque à chaque fois que je discute du sujet du cannabis sur un fora politique, il n'y est jamais question de plaisir mais toujours de santé et d'études cliniques dans le but de condamner sa consommation. Dans la même veine, on a le vin qui donne le cancer, la choucroute qui est trop salée, le sexe qui mène au sida, etc. C'est un discours de cul bénit !

Il me semble urgent de détacher la notion de plaisir de celle d'une bonne santé impérative, qui serait l'étalon moderne sur lequel nous devrions fonder toutes nos actions. Le fait que la consommation de chocolat s'assimile à la consommation d'héroïne de part son action sur la sécrétion de dopamine ne doit pas nous empêcher moralement d'en consommer à notre convenance. Et merde à tous les moralistes réactionnaires qui peuplent notre univers

C'est curieux, j'ai plutôt l'impression que la morale qui tend à dominer est plutôt celle d'une obligation de jouissance débridée... pour le plus grand bonheur des marchands et des publicitaires...
La coexistence avec l'hygiénisme montre, selon moi, que les deux logiques sont symétriques et que chcun des deux discours se nourrit de son opposition à l'autre...
J'aime mieux rester complètement en dehors du champ de bataille

Je n'avais pas vu les choses comme ça. Je vais y réfléchir mais pour l'instant je n'ai rien de pertinent à rajouter. A part que de nos jours, ce qui est in c'est de savoir mourir en bonne santé

oui et cela s'appelle la vieillesse et ce n'est pas une honte de mourir ainsi...le plus tard possible
Même si l'âge n'est pas toujours affaire de calendrier!!!
GIBET

Bah, quand je vois ma grand-mère qui a été obligé de manger sans gras et sans sel durant les dix dernières années de sa vie, ça fait pas trop envie. Son toubib aurait même pu lui dire "si jamais vous continuez à manger normalement, vous risqueriez de mourir heureuse !"

Mourir centenaire en subsistant grâce à de la salade sans vinaigrette ou mourir plus jeune en ne se privant d'aucune passion, voila un choix qui nous est refusé par le zeit geist.