NOS MAINS
NOS MAINS
NOS MAINS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

NOS MAINS

Forum de discussion entre amis pour se donner du plaisir et se rencontrer peut-être un jour. BONNE SANTE ET BONHEUR A TOUS
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2022

NOUS SERONS TOUJOURS
PRESENTS EN AMITIES
GIBET

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2022

NOUS SERONS TOUJOURS
PRESENTS EN AMITIES
GIBET

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2022

NOUS SERONS TOUJOURS
PRESENTS EN AMITIES
GIBET

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2022

NOUS SERONS TOUJOURS
PRESENTS EN AMITIES
GIBET
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

 

 Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon

Aller en bas 
AuteurMessage
Briard
Admin
Briard


Messages : 6005
Date d'inscription : 05/02/2010
Age : 67
Localisation : CHAMPAGNE

Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon Empty
MessageSujet: Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon   Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon Icon_minitime31/12/2013, 09:24

« La foule (des inadaptés) grossit chaque jour
grâce aux importations d’inadaptables
dans notre pays complètement apathique,
ayant perdu jusqu’à l’instinct du territoire,
l’un des plus essentiels »



Médecin et sociologue français (7 mai 1841–13 décembre 1931), Gustave Le Bon s’est intéressé au désordre comportemental et à la psychologie des foules. Ses analyses ont connu un grand succès chez certains leaders politiques



Entretien réalisé à partie de l’introduction de Pierre Duverger à Psychologie du socialisme.


Pour, Gustave Le Bon, le véritable ennemi de l’ouvrier européen n’est pas le patronat avec ses défauts, c’est notamment le travailleur asiatique avec ses qualités…

Inéluctablement, malgré la grogne, les décrets, les grèves, les syndicats, les défilés, les séquestrations, le niveau de vie des Euro­péens (surtout des Français), baissera, alors que celui des Orientaux s’élèvera. Les fermetures d’usines, le chômage, la délinquance, la démographie quantitativement démentielle, accentueront la décomposition de notre communauté, courbée sous le joug d’une multitude croissante de fonctionnaires paralysant un nombre toujours plus restreint de producteurs nationaux découragés.



Pourquoi donc, devant de telles évidences, s’accrocher encore au socialisme, puisque le socialisme n’existe pas, n’a jamais existé, et n’existera jamais ?

Ses doctrines fumeuses sont construites sur d’infantiles impostures puisqu’elles ne tiennent compte en aucune façon de la nature de l’Homme ni des lois de la Vie. Lois féroces, peut-être, mais qui n’en sont pas moins indispensables à la survie de l’espèce. En effet, dans ce monde animal qui est le nôtre, tout ce qui vit se mange l’un l’autre et, justement, ne vit que grâce à ça. Nous subissons tous, maintenant plus que jamais, la terrible contrainte de la sélection (disons concurrence). Pour supprimer cette sélection, comme s’illusionne le socialisme, il faudrait supprimer l’humanité.


Dans l’époque phénoménale que nous traversons, quelques hommes de caractère, quelques savants, quelques inventeurs (un pourcentage minime), sont à l’origine de bouleversements techniques fantastiques…

D’autres hommes, contemporains, que d’aucuns appellent nos frères, vivent à peu près comme nous au quaternaire. Vouloir les fondre ensemble est une utopie mortelle. Dans cette pyramide humaine, et contrairement aux lois de la pesanteur, la masse du dessous dépend de la minorité du dessus. Cette minorité, qui semble anesthésiée, est devenue une sorte de gibier pourchassé de toutes parts par la plèbe comme par l’État.


Gustave Le Bon lançait un cri d’alarme en constatant (en 1898 !), la multiplication des inadaptés

Cette foule grossit chaque jour grâce aux importations d’inadaptables dans notre pays complètement apathique, ayant perdu jusqu’à l’instinct du territoire, l’un des plus essentiels. L’armée grandissante de ces inadaptés ne cherchera qu’à détruire l’ordre établi à moins que ne surgisse quelque César à poigne d’acier. L’imposture de l’égalité commence seulement à être ressentie comme le danger mortel et définitif de notre patrie.

Les rares éléments restés lucides, c’est-à-dire inertes à la chimère mondialiste, sont engloutis sous une masse multicolore, hargneuse et constamment revendicatrice. Malheur à celui qui se distingue de la foule par des qualités particulières, une supériorité quelconque et dont la tête tend à émerger.



Le clou qui dépasse attire le marteau, dit un proverbe chinois (j’allais dire socialiste)…

Puisque nous parlons proverbe, en voici un, fait sur mesure pour ce livre. De surcroît, il est russe : « Pour que la confiance soit durable, il faut que le mensonge soit solide. »



Les livres de Gustave Le Bon sont réédités aux Éditions Déterna dans la collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa.
Revenir en haut Aller en bas
 
Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Psychologie du socialisme : une foule grandissante d’inadaptés

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NOS MAINS :: LAICITE et SPIRITUALITE :: MIEUX VAUT EN RIRE...OU EN PLEURER-
Sauter vers: