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 Hitler. Une biographie médicale et politique‏

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Briard
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MessageSujet: Hitler. Une biographie médicale et politique‏   Hitler. Une biographie médicale et politique‏ Icon_minitime5/8/2013, 19:56

« “La vérité ne traîne pas sur les grandes routes
où passe tout le monde” (Niccolo Machiavel)…
ce qui ne veut pas dire que l’on soit obligé
de prendre de trop grandes libertés avec elle »



Entretien avec le Dr Bernard Plouvier, auteur d’Hitler. Une biographie médicale et politique (6 volumes) aux Éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire »,

(propos recueillis pas Fabrice Dutilleul)



Encore une biographie d’Hitler, alors qu’il en est tant de déjà parue ! À quoi bon ?

Au fait d’avoir étudié durant un tiers de siècle le personnage, dans ses écrits, ses discours et ses actes, d’avoir essayé de dépouiller son histoire de l’invraisemblable ramassis de légendes et de mensonges encore colportés de nos jours dans les media, mais aussi dans les livres des doctes historiens diplômés ; enfin d’avoir tenté de diagnostiquer ses diverses maladies en épurant là aussi la narration des historiettes de concierge…



Était-il réellement fou et parkinsonien ?

Encore faut-il s’entendre sur le type de psychose – la folie dans le langage courant, car le mot « fou » ne veut pas dire grand-chose en médecine – qui était celle d’AH et sur la variété de syndrome parkinsonien qu’il présentait. On ne veut retenir aujourd’hui que ses crimes, incontestables, mais on le présente non pas comme UN génie du mal, mais comme LE mal absolu… ce qui empêche de s’interroger sur ses réalisations politiques et économiques, ainsi que sur son génie de stratège militaire, n’en déplaise à ses contempteurs. Il a évidemment commis des erreurs, mais l’on attend toujours le premier Chef d’État de l’histoire humaine n’en ayant jamais commis. Quant aux crimes contre l’Humanité, il est loin d’en détenir le monopole. Ne serait-ce qu’en comparaison de son contemporain Joseph Staline, pour ne citer que le plus emblématique.



Était-il véritablement un « génie » politique ?

La réponse du IIIe Reich au chômage de masse, au désastre économique, social et démographique que fut la République de Weimar reste un modèle de politique innovante. En janvier 1933, le pays est en proie à la guérilla civile, entretenue par le Parti communiste ; 7,6 millions d’hommes en âge de travailler sont chômeurs à plein temps (et non les 6 millions de la narration usuelle) et 4 millions sont en état de chômage partiel ; les grandes villes allemandes sont autant de lupanars où les touristes sexuels viennent assouvir leurs désirs « pour pas cher » ; la balance du commerce extérieur est en déficit monstrueux et les caisses de l’État sont aussi vides que celles des assurances sociales… En trois mois, les rues sont nettoyées des voyous et des prostitués de tous sexes ; en deux années, la moitié du chômage est résorbée, avant que ne débute le réarmement (pour des raisons budgétaires, il ne commence que durant l’année fiscale 1935-36). L’étude véritable du IIIe Reich (et non de la caricature d’enfer décrite par les conteurs qui ne s’intéressent qu’au sort des opposants marxistes et juifs) n’est pas dépourvue d’intérêt.



Ses maréchaux et ses généraux l’ont accusé d’avoir gâché leurs immenses victoires du début de la guerre.

L’histoire est écrite non seulement par les vainqueurs, mais aussi par ceux des vaincus qui ont survécu ! Il n’est nullement exagéré d’affirmer que la Wehrmacht de 1939-40, puis la « nouvelle Wehrmacht » de 1943-44 sont des créations du « génie hitlérien », en dépit de l’opposition de généraux à l’esprit rétrograde qui, jusqu’en 1938, pariaient sur la cavalerie à l’ancienne ! Si l’on peut reprocher quelque chose à Hitler, avant la guerre, c’est d’avoir mis longtemps à se séparer de « professionnels » qui préparaient une nouvelle guerre de 1914. En 1938, encore, les « professionnels » de la Direction des Armements estiment que la radio ne fonctionnera jamais dans les chars et, jusqu’en 1940, AH ne parvient pas à obtenir d’eux des chars munis d’un canon long.

Il est exact que son erreur majeure fut, l’été de 1940, de ne pas verrouiller la Méditerranée occidentale en prenant Gibraltar et Malte, quand cela était possible à faible coût. En bon « terrien », le Führer était fermé à la stratégie navale.

Quant à l’attaque de l’URSS, elle n’a fait que précéder de deux à trois semaines le Plan Orage soviétique, c’est-à-dire l’attaque de l’Europe centrale et occidentale par la partie de l’Armée Rouge située à l’ouest de l’Oural, soit 4 millions d’hommes bien équipés, 20 000 chars et autant d’avions de combat. Une telle armée, où tout était prévu pour l’offensive, aurait-elle pu être arrêtée lors de sa progression sur l’excellent réseau routier allemand, tchèque ou français ? Il est évident que l’histoire s’écrivait autrement si AH n’avait pas lancé l’Opération Barbarossa, mais peut-être pas dans le sens décrit par nos brillants universitaires.



Et ses crimes et le génocide des Juifs d’Europe ?

Et on oublie trop souvent les ordres de génocide sur les Tziganes, l’élite polonaise et l’élite soviétique (qui n’était pas forcément l’élite des peuples russe, biélorusse et ukrainien). Il est hors de question de nier sa responsabilité personnelle, pleine et entière en tant que seul maître du Reich, dans ces ordres et leur exécution. Tout au plus, dans un pays où règnerait la liberté d’expres​sion(ce qui n’est pas toujours le cas de la France sur certains sujets), pourrait-on discuter les bilans chiffrés des crimes de guerre et contre l’humanité ou encore aborder le sujet des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis par les vainqueurs, non seulement les Soviétiques, mais aussi les honorables Alliés occidentaux, qui, par le statut du Tribunal Militaire International de Nuremberg, ont été considérés comme vierges de tout soupçon sur ce point... ce qui est un impudent mensonge de propagande.

Oui, AH a ordonné de réaliser des crimes de masse et c’est en 1944 qu’un juriste juif a, pour l’occasion, inventé le terme de génocide, mais la réalité n’avait pas attendu Hitler ni cette guerre. Sont rappelés et décrits dans les volumes 2 et 5 plusieurs exemples de génocides antiques, médiévaux, modernes et contemporains ; nombre d’entre eux sont survenus après la IIe Guerre mondiale, le « Devoir de mémoire » n’ayant nullement empêché leur répétition ni leur prolifération, après la décolonisation de l’Afrique et de l’Asie.

Dans le volume 6, sont comparés les états de service politiques et militaires, les états de santé physique et mentale des ennemis d’AH, les vainqueurs de 1945… et les faits sont parfois quelque peu différents de la narration officielle ! L’on cite également quelques autres cas de « fous de Dieu », car Adolf Hitler a perpétré ses crimes et s’est lancé dans une guerre pour s’être imaginé choisi par la « divine providence » que son esprit faux avait imaginée (et qui n’avait rien de commun avec celle des chrétiens, mais présentait quelques similitudes avec celle de Moïse et de Josué).

À ceux qui seraient surpris de ces quelques phrases, l’on peut rappeler l’aphorisme de Niccolo Machiavel : « La vérité ne traîne pas sur les grandes routes où passe tout le monde »… sans que quiconque puisse prétendre posséder cette « vérité » insaisissable, ce qui ne veut pas dire que l’on soit obligé de prendre de trop grandes libertés avec elle, par exemple en continuant d’utiliser pour la narration historique les mensonges et les fleurs de rhétorique de la propagande de guerre alliée.



Hitler. Une biographie médicale et politique (6 volumes), Dr Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire», dirigée par Philippe Randa, chaque volume 31 euros.
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